'Many things in life will catch your eye,
but few will catch your heart...' Pursue those.
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SPECIAL EVENTS : "A la rencontre de cet «autre»... qui est pourtant si proche..."

Séminaire "Apprendre une autre langue : un atout pour l'avenir"

Cité des Métiers, Guadeloupe, 22 janvier 2003.

"Les académies dans l'Espace-Europe et dans l'Espace-Monde"

La communication de Madame Mireille Golaszewski, inspecteur général d'anglais

" Friendship is a disinterested commerce between equals" (Oliver Goldsmith)
" The only reward of virtue is virtue; the only way to have a friend is to be one" (Ralph Waldo Emerson).


Introduction

Problématique
: comment être à la fois dedans et dehors, intra et extra muros?

Réflexion sur lieux et espaces :              

La collocation «espaces européens, ou caribéens, ou euro-caribéens» ou la collocation «espace-monde» est presque tautologique puisque la notion d'espace renvoie à un milieu caractérisé par l'extériorité de ses parties, renvoie à des grandeurs et à des distances, à un territoire expansif, à une ouverture, une sortie, une extension...

L'espace, pour nous français de métropole ou des Antilles, tend vers l'européen, ici vers le caribéen, dans un mouvement extérieur, centripète et non centrifuge, vers le voisin qui, dans le monde d'aujourd'hui, n'est plus un étranger, mais tout simplement « l'autre ».

Les langues étrangères sont toujours véhiculaires :

Elles donnent un sens plein à l'acte de communication. Elles renouvellent l'histoire commune des peuples que l'on se plaît toujours à raconter, et pas seulement aux enfants : qu'un petit français rencontre un petit italien / allemand / anglais / créole / portugais et l'histoire de l'Europe et du monde va s'en trouver changée.

Le petit prince, des deux côtés de toutes les frontières qui n'existent plus, ne débarque pas sur une planète inconnue, mais voyage dans un espace apprivoisé où il s'enrichit des valeurs de son voisin. Il voyage à l'intérieur des langues pour mieux arpenter le monde.

L'espace international existe. Internet n'est plus, paradoxalement, le portail d'accès à des espaces virtuels, mais achemine le voyageur en langues vers des territoires géographiques, culturels et linguistiques, tangibles, où l'élève d'aujourd'hui se sent plus à l'aise, dans un espace élargi.

La deuxième collocation que nous souhaiterions souligner concerne l'association «espace(s)» / «établissement» : un lieu ouvert et un lieu fermé, des territoires à perte de vue, et un lieu où nous sommes établis, posés, une enceinte, des bâtiments, des édifices, comme un monument (on se souvient tous du sens étymologique : monument, du Latin monere, fait pour durer, pour perpétuer, pour rester). D'un côté, des perspectives, des horizons, des champs à perte de vue ; de l'autre, un enclos, un portail monumental et des murs de clôture.

Les chefs d'établissement nous le répètent à l'envi : les murs ne sont pas extensibles !

Notre problématique pédagogiqueest donc la suivante :

Comment concilier le statique avec le dynamique, l'intériorité avec l'extériorité, le restreint avec l'extensif, le limité avec l'illimité, le nomadisme avec la sédentarité, l'immobilité avec la mobilité, sans qu'aucun de ces éléments ne s'abîme dans l'autre, mais bien au contraire renforce un édifice existant et lui donne des prolongements, des ramifications, comme autant de passerelles invisibles mais pourtant réelles qui jetteraient des ponts vers d'autres rives dont les fleuves irrigueraient tout le réseau.

Nous allons donc tenter, par des opérations de focalisation à la fois interne et externe, d'analyser comment toutes ces notions se combinent, comment nous pouvons les mettre en cohérence en partant de l'existant, et comment elles sont bel et bien ancrées dans ces courants novateurs qui traversent aujourd'hui l'établissement et dynamisent nos pratiques d'enseignement dans le cadre de ces apprentissages de type "sections européennes"

Tous ces supports aident à construire des représentations d'espaces européens, caribéens, internationaux, qui pénètrent dans la salle de classe et en repoussent les murs.

Je vous propose une visite guidée rapide de quelques uns de ces lieux, à l'intérieur de l'établissement, avant de le quitter.

Et tout d'abord, celui qui, dans le collège, le lycée ou le lycée professionnel est le lieu incontournable :

1°) La salle de classe, matrice et salle de base.

Ce microcosme à l'intérieur de l'établissement scolaire est occupé par un professeur de langue et par des élèves qui communiquent entre eux dans une langue étrangère. C'est une citadelle dans laquelle peu de gens se risquent : il faut être un praticien de la langue étrangère pour pouvoir s'y risquer. Dès que la porte est franchie, vous êtes en Espagne, dans les Caraïbes, en Allemagne, en Amérique Latine ou en Italie.

Comment la métamorphose s'opère-t-elle? Comment le professeur crée-t-il ici un espace à l'étranger? Comment fait-il - symboliquement parlant - sortir ses élèves de la classe alors même qu'ils sont consignés à l'intérieur? La langue vivante, bien sûr, est le medium utilisé. Elle est l'expression de la pensée, elle-même nourrie de tous les apports sociaux culturels « maternels » (au sens de « langue maternelle ») ; elle est aussi l'interface avec les autres langues, par des processus mentaux complexes qui font que l'apprenant va aussi intérioriser des structures et du lexique des autres langues.

Quelques remarques s'imposent :

Le professeur, rappelons-le encore, a une très grande responsabilité dans la construction de l'apprentissage linguistique de ses élèves, qui est le passeport vers les pays "étrangers".

La salle de classe est donc bien une salle de base, un lieu d'étape indispensable où s'échafaude le socle de connaissances linguistiques indispensable. Il doit aller bien au delà du kit de survie : pour voyager dans les espaces européens et communiquer avec les autochtones au sens plein du terme (c'est à dire entrer en relation forte avec eux), il faut un appareillage linguistique solide et précis qui dépasse les formules de politesse. La salle de classe est un lieu essentiel : c'est le creuset des connaissances, le lieu de formation : il faut y être de manière intense, active et interactive.

Le professeur initie des mouvements internes : au niveau inconscient, puis psychologique, puis il est déclencheur de parole, chef d'orchestre d'instruments vocaux qui vont faire entendre harmonie ou discordance. Il lance des mouvements centrifuges : rebrassage des acquis antérieurs, récitation de leçons, répétitions, reproductions, productions guidées.

Le professeur enchaîne toutes ces activités qui, au mieux, sortent l'élève de son silence, le rendent actif et interactif sur un parcours fléché dont la direction (au sens de destination) est toujours une sortie.

L'enseignement est, depuis Socrate, une maïeutique, un accouchement, une mise au monde.

Si on s'éloigne de la salle de classe (pour aller dans d'autres salles utiles telles que le laboratoire de langues ou la salle multimédia), ce n'est que pour mieux y revenir.

La salle de classe est aussi cette salle de base vers laquelle la jeune recrue retourne pour rendre compte de sa mission en territoire extérieur. Lieu de rattachement, matrice originelle. Le cordon ombilical est-il jamais rompu ?

C'est là que le recours à des outils s'avère déterminant : enregistrements authentiques, vidéos, films documentaires ou autres, doivent être les compléments nécessaires à l'enseignement traditionnel. Pas seulement parce qu'ils plaisent à nos élèves, mais parce que le son authentique et l'image donnent une réalité tangible à l'objet d'étude : il existe, parce que je le vois et parce que je l'entends. Le cours de langue idéal est celui où l'élève oublie qu'il a en face de lui un professeur français de langue étrangère et que ce dernier devient un inter-locuteur dans une langue étrangère. Il va de soi que l'assistant étranger (lorsqu'il y en a un dans l'établissement) doit pénétrer dans la salle de classe et dialoguer avec ses occupants.

J'ai vu, il y a quelques jours à peine une de ces salles : la décoration n'y était pas seulement décorative, elle était fonctionnelle. Imaginez : le mur face à nous transformé en écran géant. Au milieu, le tableau, qui se couvrait au fil de l'heure de langue anglaise ; à gauche du tableau : une grande carte d'Irlande entourée de cartes postales où l'on pouvait voir Dublin, Cork, la lande battue par les vents, les côtes etc.. ; à droite du tableau : un arbre généalogique de la famille Kennedy, un poster récapitulant les principales dates de JFK et une grande carte des Etats Unis entourée elle aussi de vues de la Maison Blanche mais aussi de Dallas ; une photo représentant Jacqueline Kennedy en visite officielle à Paris.

Il y avait là déjà un parcours fléché, dans le temps et dans l'espace, un voyage européen et international dessiné en filigrane. Que s'est-il passé?  Le professeur, très mobile, longeait constamment ce mur, tel un curseur sur une carte à entrées multiples, et y donnait sens et direction ; plusieurs élèves ont été appelés soit pour situer des lieux ou des événements sur la carte ou sur la chronologie tandis que le tableau, trait d'union entre l'Europe et l'Amérique, enregistrait, comme sur un carnet de voyage collectif, les observations des élèves, savamment guidées par le professeur au cours de leur itinéraire. Nous avons bien sûr écouté un petit bout d'un discours de Kennedy et regardé deux ou trois images de l'un de ses voyages présidentiels sur le téléviseur équipé d'un magnétoscope.

Je puis en témoigner : nous avons ce jour là traversé le mur et nous étions ailleurs, au dehors.


2°) L'enseignement type " section européenne" à la croisée des chemins.

Les textes fondateurs des sections "européennes et de langues orientales" parus en 1992 (et accessibles dans le B.O. ) exposent les modalités d'ouverture de ces sections et en présentent le dispositif. Ils donnent aussi les conditions d'évaluation des élèves au Baccalauréat et les conditions d'attribution de l'attestation "section européenne" sur le livret de l'élève. Chacun se reportera à ces documents. Des instructions nouvelles seront prochainement publiées au B.O.Nous ferons donc ici porter nos regards seulement sur deux points :

1- la notion de "site":

Une section européenne est un assemblage de collèges (au moins deux, pour éviter une diminution des effectifs en lycée) et d'un lycée, présents sur un espace qui est le "bassin" et relié d'une certaine manière à la "carte des langues". Cet attelage singulier crée une cohérence qui permet aux élèves de progresser verticalement, du collège vers le lycée, et horizontalement, tout au long d'un apprentissage renforcé d'une ou de plusieurs langues autres que sa langue maternelle, sur la voie d'une autonomie langagière qui fait naître en lui ce voyageur potentiel du monde.

2 - un enseignement type "section européenne" est à la croisée de chemins:

d'une part il participe de ce nouveau mode d'acquisition des langues non maternelles qui fait se croiser deux modes d'apprentissage : apprendre les langues étrangères et apprendre en langues étrangères.

d'autre part, il joue sur l'inter-disciplinarité : une discipline non linguistique (DNL) est enseignée en langue étrangère. Ceci crée forcément des liens, car les professeurs de ces différentes disciplines doivent se rapprocher, se concerter, s'aider. L'élève, de son côté, établit des liens différents avec ses professeurs. Une mutation silencieuse s'opère au niveau de la perception réciproque des partenaires de ces nouvelles formes d'échanges.

Au croisement de ces courants nouveaux une dynamique se met en place. Le mouvement c'est la vie, et nous parlons toujours ici de langues "vivantes".

3° ) L'espace Langue(s) ou la croisière en solitaire au croisement des langues.

Lieu plus récent, concept nouveau né d'un souci de diversification des enseignements linguistiques et d'une meilleure aide individualisée. Né aussi du problème de plus en plus crucial que pose l'hétérogénéité des classes aux enseignants.

«Langue(s)» peut s'y écrire au singulier et au pluriel : au pluriel, l'espace en question est en passe de devenir véritablement européen, ou international. Rappelons au passage que le français langue maternelle est aussi une langue vivante étrangère, parfois même étrangère sur notre territoire.

- L' idée de base est de faire travailler les élèves, chacun à son rythme, leur donner les moyens de se prendre en charge, leur offrir individuellement une exposition maximale à la langue. Je ne développerai pas ici les aspects pédagogiques, mais voudrais vous faire visiter les lieux.

Un espace langue contient :

Ceci suppose une salle à cinq coins (!) qui seront tous occupés - tant mieux, personne ne pourra aller au coin.

Vous lirez l'article pour comprendre comment ces divers coins fonctionnent, les diverses compétences qu'ils permettent de travailler ; comment le professeur gère le temps et le travail en partant toujours d'un apprentissage avec classe entière dans la salle de base (nous y revenons) et mouvements de navette (les travaux individuels ou en ateliers doivent toujours revenir vers le groupe classe et y être exploités).

L'assistant de langue peut animer l'atelier conversation ou tout autre, en présence ou pas du professeur de langue, selon les effectifs ou la configuration des lieux.
Si l'espace langue est contigu à la salle de classe ou au CDI, comme il devrait l'être, et au laboratoire de langues s'il existe (il est évident qu'il faudrait que ces salles soient communicantes pour permettre une pédagogie différenciée), alors plusieurs types de démarches pédagogiques peuvent être envisagées.

Il est évident aussi que si les professeurs de l'établissement se sont constitués en groupes disciplinaires, s'ils ont intégré l'idée que leurs élèves sont les élèves de tous et d'abord ceux du collège ou du lycée dans lequel ils se trouvent, et s'ils sont parvenus à avoir deux classes parallèles à la même heure le même jour, alors on voit s'ouvrir de multiples possibilités d'exploitation de cet espace langue + salle de classe à deux enseignants de la même langue, et non plus à un seul.

Je suggérais d'aller plus loin encore. Dans un véritable travail plurilingue coopératif, on peut imaginer un espace langues où deux ou trois petits groupes d'élèves isolés travailleraient pour deux ou trois professeurs de langues distincts, sous la houlette de l'un d'entre eux qui serait, ce jour là, de garde si j'ose dire. Nous avons là l'amorce non d'une tour de Babel, mais d'un espace multilingue où deux ou trois langues seraient exploitées en même temps. On peut aisément en visualiser le décor : les pays "étrangers" y seraient représentés par des posters ou des oeuvres d'art, et assureraient une immersion culturelle plus vaste. Je laisse aux participants à ce séminaire le plaisir d'y voguer à leur rythme.


4°) le CDI : de la voile à la toile, il n'y a qu'un pas ou une encâblure.

Le Centre de Documentation et d'Information est, par essence, un espace européen dans l'établissement. Comme son nom l'indique il est à la fois source et ressource . Déclinons ses composantes :

Il est nécessaire aujourd'hui, dans cette vision éclatée des détenteurs des «savoirs que», de réfléchir de plus en plus à la distribution de ces deux types de savoirs dans les apprentissages d'aujourd'hui.

Cette dimension pragmatique redonne du sens aux outils en place et valorise les nouvelles technologies, qui, redisons le avec force encore, sont des compléments heureux, des aides apportées aux méthodes traditionnelles auxquelles elles ne sauraient se substituer. Nous parlons toujours de complémentarité dans la différence, et non pas d'exclusion.

Une expérience intéressante mérite d'être citée.

Dans le CDI d'un établissement visité, la documentaliste, qui dispose d'une salle annexe du CDI, a pris l'initiative d'y installer un espace international : elle y diffuse en boucle de 12 à 14 heures de très petits documentaires d'actualité prélevés sur des chaînes étrangères et ce, dans plusieurs langues. Les élèves s'inscrivent en début de semaine (nombre de places limitée) et visionnent ces petits reportages en plusieurs langues. Ils sont authentiques, ils ne sont pas sous-titrés, mais l'image permet de décrypter le sens, quelle que soit la langue.

Voilà un exemple d'immersion, de ce que l'on appelle aussi le bain linguistique. Nous n'avons pas peine à imaginer les effets positifs de cette initiative. Et à saluer le travail de préparation de la documentaliste.=


5°) Comment TICEr des liens?

N'insistons pas sur les possibilités de liaisons à distance permises aujourd'hui par le courrier électronique ou par Internet : le monde est à portée de main, ou de souris.

- Elles permettent la recherche de partenaires, l'établissement de liens, la visite de sites, la promenade sur d'autres territoires. Nous connaissons l'engouement pour les balades internautiques : recherches sur la toile, exercices en lignes, salles virtuelles¬ - mon école, c'est le monde!

- Il faut utiliser l'intranet de l'établissement qui permet d'engager le dialogue avec l'élève, d'identifier ses erreurs, de l'aider à les corriger. Les possibilités sont vastes. Il faudrait mettre en place un Forum sur l'intranet où élèves et assistants de langue peuvent dialoguer (surtout quand ces derniers sont en nombre limité, et peuvent gérer deux établissements en réseau). Ici encore les possibilités sont étendues.

Tout ceci contribue à la création d'une culture transversale, à la fois individualisée et coopérative et dans laquelle "culture" doit s'entendre de trois façons :

Ces changements de mentalités, ces approches nouvelles, créent la dynamique d'un nouvel ordre qui sous-tend les apprentissages fondamentaux. Caractéristiques de la révolution qui traverse nos enseignements, ces changements représentent cette mobilité mentale qui est le prélude, et la condition nécessaire, de la mobilité géographique et culturelle.

La mobilité des personnes passe par ces exercices mentaux au cours desquels on se dessaisit de soi pour devenir quelqu'un d'autre, en opérant des translations qui sont des extensions, des prolongements de soi.

6°) Le "pas de deux": à la conquête de l'espace international. Exemple illustratif : l'appariement entre l'état de Floride, la Guadeloupe et la Martinique.

Afin d'aider les enseignants à trouver des partenaires, des contrats sont signés entre des partenaires institutionnels permettant de globaliser les actions.

Sur le modèle de ce qui s'est fait entre les Language Colleges anglais et les sections européennes de l'hexagone, des contrats d'appariement virtuel sont en cours d'élaboration entre des états américains et des académies.

Il s'agit pour les équipes partenaires - professeurs et élèves - d'élaborer un projet pédagogique conjoint (de type IDD ou TPE) et de travailler à distance par courrier électronique. Les expériences citées plus haut montrent à quel point ces appariements sont productifs : au plan des échanges linguistiques et donc de l'amélioration des performances bien sûr, mais aussi pour construire cette ouverture de l'élève vers le monde extérieur.

Une trentaine d'établissements de part et d'autre ont déjà répondu aux questionnaires d'appels d'offre, et il sera prochainement procédé à leur appariement. Des exemples analogues existent pour des langues autres que l'anglais.


En guise de conclusion et en quatre points d'orgue :

Mireille Golaszewski, Inspecteur général d'anglais.

Autres notes, études et rapports du groupe "Langues vivantes" à l'Inspection Générale.

Le séminaire "Apprendre une autre langue : un atout pour l'avenir" s'est tenu à l'initiative de Mme Francine Doquet, PLP anglais-lettres chargée de mission au Rectorat de Guadeloupe, avec le soutien de la Région Guadeloupe. On trouve un compte-rendu succint de la manifestation sur le site aca Guadeloupe.


Autres interventions :

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Wellington, New Zealand : accueil maori pour Giuseppe Gugglietta, capitaine de l'Americo Vespucci, navire ecole italien.

Travel is fatal to prejudice, bigotry, and narrow-mindedness. -Mark Twain, well-traveled author and humorist (1835-1910).

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